Franck Doumecq – Président - Riondet Seripub

Pouvez-vous nous en dire plus sur votre parcours professionnel ?  

N’étant pas un grand fan de l’école traditionnelle j’ai réalisé un CAP Sérigraphie en alternance chez Gravure Dauphinoise. J’ai rapidement rencontré Serge Riondet avec qui j’ai passé 25ans de ma vie professionnelle ! Je suis rentré chez Riondet-Malbert comme conducteur de machine au sein de l’imprimerie. En 2000, une grosse entreprise américaine a racheté notre société, ce qui nous (l’ensemble des salariés « irréductibles gaulois ») a poussé à prendre notre destin en main. Nous avons créé 4 sociétés spécialisées grâce aux compétences et à la main d’œuvre des employés de Riondet-Malbert. Ma branche (sérigraphie – 9 employés) à rapidement rachetée Seripub, une entreprise d’objet textile pour devenir Riondet-Seripub avec la 30aine de collaborateurs composant cette société répartis sur les sites d’Eybens et Bresson.

Début 2019, j’ai acquis cette société pour laquelle je travaille depuis de nombreuses années !

Pouvez-vous présentez simplement l’activité de votre entreprise ?

Notre entreprise intervient sur 4 activités distinctes :

  • Le marquage industriel : sérigraphie et impression numérique
  • La communication par l’objet
  • L’impression bagagerie et textile
  • Les supports de communication (signalétique, PVC, personnalisation véhicules…)

Nous avons tout le matériel et toutes les machines nécessaires pour répondre aux attentes de nos clients et les accompagner de A à Z dans leurs projets.

L’entreprise Riondet Seripub est partenaire historique du FCG depuis plus de 20 ans ! Qu’est-ce qui motive un tel partenariat ?

Il y a 2 raisons, une de cœur et une économique.

Tout d’abord, nous avons choisit le rugby pour le sport en lui-même et les valeurs qu’il porte, c’est le sport que l’on aime et l’équipe que l’on affectionne, c’est le club de la ville !

 La 2ème raison est économique, il y a un véritable lien, un échange avec tous les partenaires du FCG qui permet d’évoluer dans un écosystème fort.

Pourquoi avez-vous choisi de vous rapprocher du rugby féminin en devenant partenaire des Amazones pour cette nouvelle saison ?

La raison est simple, je trouve que le rugby féminin a récupéré les valeurs qui sont en train de s’effacer petit à petit chez les hommes. Les filles doivent se battre pour avancer, car même en 2020 le rugby féminin n’est pas encore démocratisé, il faut trouver des partenaires pour supporter cette cause ! C’est un sport humble qui n’est pas parasité par l’argent ou le rapport entre humain est la clef.

De plus, les Amazones dégagent une énergie incroyable et communiquent des belles valeurs. C’est un spectacle plus fluide et moins violent que les hommes, qui ressemble à l’ancien rugby et je ne parle que des aspects positifs !